Qui est le champion du monde des cannelés 2018 ?

Chaque année, France Bleu Gironde organise le championnat du monde de Cannelés. Cette année, j’étais au côté du Jury, voici mon retour sur le Cannelenium 2018.

J’avoue, entre le cannelé et moi, c’est une histoire qui dure. On s’est rencontré dès mon arrivée à Bordeaux. Love at first sight, les yeux qui brillent, l’envie irrépressible. J’ai croqué le premier jour et depuis on ne s’est plus quitté.

Plus le temps passe et plus je m’attache à cette bouchée couleur soleil brûlé. Il me suffit de mordre dans un cannelé et je suis à Bordeaux. Enfin, presque, pour être honnête celui que je préfère, je l’achète chez madame Lemoine au Cap Ferret. Je le mange au réveil quand mon homme s’est levé le premier. C’est alors, le bonheur du petit déjeuner. Je le partage avec mes copines avec le café d’après marché. Je le sers à chacune de nos soirées d’été avec les incontournables dunes blanches.

Voilà le cannelé, c’est mon gâteau doudou. Alors quand France Bleu Gironde m’a convié au jury du septième Championnat du Monde de Cannelés, j‘ai accepté avec enthousiasme.

La compétition s’est déroulée au Hangar 14 dans le cadre de Bordeaux So Good 2018. Dès 14h, les amateurs sont montés sur scène rechercher le précieux trophée. Ils ont travaillé sous les yeux du public et de leur famille à réaliser un cannelé sucré. Le gagnant devait rester au plus près du gâteau traditionnel. Cela n’a pas empêché les candidats d’apporter leur touche personnelle dans la présentation d’abord et aussi dans la préparation. Stéphanie remplace le rhum par de la liqueur de poire et Franck utilise du rhum arrangé. Ce qui est hyper sympa dans ce concours, c’est la rencontre de personnalité si diverses. Chaque présentation raconte une histoire. Il y a le duo maman-bébé, la recette sur ardoise ou la nature morte. Chacun témoigne de la même passion cuisine mais avec un vécu très différent. Vraiment Chouette. Au final, c’est Lydia Gimel avec son Divin Cannelé qui a emporté nos suffrages. Bravo Lydia

En seconde partie de concours, nous sommes passés à la catégorie-pro. Le tenant du titre Christophe Girardot revenait à la compétition challengé par Mathieu Lecocq, Benoit Texier et Michael Guedj. Ce fut une très jolie démonstration de savoir-faire, un live-show de haut niveau. Le jury, présidé par Cyril San Nicolas, a beaucoup souffert. Deux candidats sont arrivés Ex-aequo. Impossible de trancher. Alors pour la première fois, il y aura deux champions du monde de Cannelés à savoir Christophe Girardot et Michael Guedj. Bravo les chefs.

Les Champions du monde 2018 de Cannelés : Christophe Girardot, Lydia Gimel et Michael Guedj

Festival ZZ , Zéro déchet & Zéro gaspillage

Mieux consommer, ne pas jeter, limiter le sur-emballage, on est tous motivé mais on peut manquer d’idées. Avec le festival ZZ, on va aller à la rencontre de ceux qui sont à la pointe des bonnes pratiques. C’est ce week-end vendredi 23 et samedi 24 au hangar 14

Le programme est très riche. J’ai remarqué des ateliers de DIY (Do it yourself) pour apprendre à faire ses produits d’entretien, ses crèmes beauté, des jeux, des expositions et bien sur des conférences.

 

Avec Gaëlle Sacarabany, du blog https://monbonheurgourmand.com/ nous allons cuisiner zéro déchet lors du concours Gaspi délices. Au delà du challenge, nous allons vous donner nos astuces, partager notre philosophie du bien manger. On va parler circuit court, marché de producteurs et de nos achats responsables. RDV samedi au Hangar 14 à midi.

La Nuit des Banquets, Bordeaux So Good.

16 banquets, 63 chefs, les équipes des meilleurs traiteurs de Bordeaux et 1500 convives,
la Nuit des Banquets de Bordeaux So Good 2018 fut exceptionnelle.

 

La promesse d’ouvrir des lieux insolites, de nous raconter des histoires nouvelles a été tenue. Encore une fois, le comité organisateur co-piloté par Céline Miecaze et Jésus Hurtado, chef Jésus, a su dénicher des sites incroyables, nous raconter des histoires autour de la gastronomie et et du plaisir à partager la passion cuisine.

Cette année, je suis restée en coulisse. J’ai suivi Chef Jésus dans sa tournée des sites So Good, ultime étape de sa mission sur le sujet. Du Conservatoire de Musique à l’espace Beaulieu en passant par l’usine Jock, samedi, nous avons sillonné Bordeaux dans le contrôle des détails.

A chaque fois, Jésus s’assurait du bon déroulement de la soirée et prenait connaissance des micro-incidents. Pas d’accident à signaler, c’était prévisible. Le déroulé de chaque banquet avait été minutieusement préparé en amont en collaboration avec Céline Miecaze, commissaire général du Festival et Rodolphe Martinez directeur artistique. Pour que le fête soit réussie, Chef Jésus avait sélectionné les lieux, organisé le casting des chefs, veillé au respect de la typologie des menus et bien sur mis en place les moyens matériels et humains.

Chef Jésus, Pierre Gagnaire parrain de BSG 2018 et Céline Miecaze, commissaire Générale du Festival Bordeaux So Good 2018

Je reviens pour l’exemple sur le subtil casting des chefs. Imaginez la difficulté de construire 16 équipes composées de 2 chefs et d’un pâtissier. Dans le monde de la cuisine si riche en fortes personnalités, il faut beaucoup de talents et un joli carnet d’adresses pour composer ces brigades d’un jour.

Le soir de la fête, rien ne transparaissait du travail d’équilibriste de Jésus. Tout semblait fluide et facile. Les invités aux banquets ont pu vivre une très belle expérience portée par des équipes au top. J’en rapporte des images et des sourires complices.

Christophe Girardot et Solenn Lemonnier préparent une raviole à la seiche arrosée de sa bisque de crabe du bassin

Côté back office, mon coup de cœur de la soirée va au duo Christophe Girardot- Solenn Lemonnier* comme un très bel exemple de passion partagée et de transmission réussie. Sur le cliché pris lors du Banquet à l’espace Marengo, la complicité, le bonheur de cuisiner ensemble de ces deux-là sont manifestes. Ils ne sourient pas sur commande. Il me semble que cet inséparable duo illustre à merveille l’esprit de Bordeaux So Good 2018, une édition placée sous le signe de la jeunesse.

Des sourires et des regards de connivence, j’en ai capté beaucoup d’autres. Mes photos témoignent du bonheur à être ensemble, du partage et de l’échange. Au Hangar 14, lors de l’inauguration de vendredi, le super chef Pierre Gagnaire disait :On est pas là pour faire les malins, on est là pour faire plaisir.

La Nuit des Banquets, c’est plaisir. Anne Lataillade et une amie en pleine séance coloriage au Banquet des plats de notre enfance.

 

Merci et Bravo à tous, chefs, pâtissiers, cuisiniers et équipiers,  vous pouvez vous présentez avec fierté devant votre parrain, la fête a été réussie.

 

Stefano Baicco**, Anthony Genovese**, Bernard Monblanc, Jean-Denis Le Bras, Pierre Gagnaire*** et Antonio Guida**, Banquet le Luxe à l’Italienne au Palais de la Bourse.

 

*Pour ceux qui ne la connaissent pas encore Solenn est entrée comme apprentie à la Guérinière (Gujan-Mestras) en 2014 aux côtés de Christophe Girardot. En fin de parcours scolaire, elle reste à la Guérinère comme commis, tente une aventure extérieure avant de revenir près de son mentor. Avec lui, elle a gagné un titre de Meilleur apprenti de France en 2014. Elle remporte aussi le trophée Philippe Etchebest à Exp’Hôtel 2017. Depuis la fermeture de la Guérinière au printemps 2018, elle attend le nouveau projet du chef Girardot pour venir prendre sa place de second de cuisine.

 

 

Bordeaux So Good 2018, L’inauguration.

Bordeaux So Good 2018, c’est parti pour trois jours de fête à l’Italienne.

 

Pierre Gagnaire a allumé le feu du festival sur la grande scène du hangar 14. Devant une assemblée d’officiels, de photographes et d’un public nombreux, il nous a donné une belle leçon d’humilité.

En cuisine, il ne faut pas faire les malins. Nous, on est là pour faire plaisir aux gens. 

Merci monsieur Gagnaire pour cette belle mise en bouche. Avec vous, la fête sera réussie.

Pierre Gagnaire et les organisateurs de Bordeaux So Good

Pierre Gagnaire, parrain de la Cinquième édition de Bordeaux So Gooda

 

Les 3 chefs italiens invités de Bordeaux So Good

La Halle Boca et la Boca Foodcourt du Quai de Paludate, Bordeaux

Bordeaux n’en finit plus de se réinventer. La ville continue sa reconquête des quartiers périphériques. Les bassins à flots se sont transformés autour de la cité du Vin et des halles de Bacalan.(Pour mémoire : http://lemeilleurdebordeaux.fr/les-halles-de-bacalan-un-modele/

A l’opposé, côté gare et quai, il manquait un pole d’attractivité. Avec la Halle Boca, on peut penser que le quartier des anciens abattoirs va entrer dans une ère nouvelle, sans oublier son passé et sa vocation à être un lieu de la nuit.

Le projet porté par le Crédit Agricole Assurances a été conçu par le cabinet d’architecte Agence Nicolas Michelin & Associés.

L’objectif de ce projet a été de préserver un patrimoine remarquable tout en apportant une offre immobilière mixte qui intègre commerces, bureaux et hôtel. Hervé Lapastoure, Directeur Eiffage immobilier Sud-Ouest.

Le résultat est conforme aux attentes. Les bâtiments combinent design achitectural, aménagement contemporain, et confort de vie. En visitant les bureaux en compagnie de l’architecte Michel Delplace, on s’imagine parfaitement travailler dans ces open spaces aux vues spectaculaires sur le Garonne.

Côté food, la Halle Boca ambitionne d’associer la restauration traditionnelle et l’offre plus formatée typique des centres commerciaux. Vapiano, enseigne aux 200 restaurants dans le monde joue le rôle de locomotive dans le bâtiment situé côté MECA. On pourra y manger à l’italienne sur 800m2.

Plus intéressant pour les foodistas, La Boca Foodcourt, installée dans le bâtiment central. Lors de la conférence de Presse, on nous promet une offre gastronomique et festive sur 1530 m2. La Boca Foodcourt ouvrira 7/7 et jusqu’à deux heures du matin. Les locaux sont toujours en cours d’aménagement. L’ouverture est prévue pour la fin du mois de novembre. J’ai hâte de découvrir ce nouveau temple de la Food. A sa tête, un entrepreneur bien connu sur la scène locale Francois Bidou. Le patron de l’emblématique I.Boat a conçu son projet à l’image des halles à manger espagnoles. Côté aménagement, on retrouve l’esprit du marché de Ribeira à Lisbonne. Les stands des partenaires sont alignés le long des murs avec cuisine complète et comptoir de vente. L’espace central est lui occupé par des tables en bois où les convives viendront déguster les portions achetées. On trouve aussi un bar à cocktail et un mur à bière en libre-service. L’ensemble constituera un nouveau lieu de restauration conviviale qui pourrait faire revenir les noctambules vers les quais de Paludate. Reste une seule interrogation : qui seront les sous-locataires de cette halle ? François Bidou évoque des figures locales comme le poissonnier Vents et Marées. Il parle d’un comptoir ibérique, de cuisine libanaise…Il nous demande encore huit jours de patience. Au vu du droit d’entrée (6000€/m2) et des redevances (22% du CA en paiement du loyer, des services offerts comme le nettoyage des locaux et le débarrassage des tables), on peut penser à des professionnels confirmés. Les lieux seront ouverts au public pour la soirée de clôture du festival de Bordeaux So Good. Nous saurons donc tout le 18 novembre.

La Boca Foodcourt Bordeaux, halle gourmande de 1500m2

Le 20/12/2018

Le chantier a pris du retard mais nous y sommes, la Boca Foodcourt est ouverte depuis huit jours. J’ai fait la curieuse, je suis passée, Quai de Paludate, humer ce qui se mijote derrière les comptoirs. Au premier regard, il apparaît que la sélection des corners a été menée avec un grand professionnalisme. Les 13 cuisines sont occupées par un juste mélange de restaurateurs connus sur la place de Bordeaux et de nouveaux acteurs dont la BocaFoodcourt sera le premier projet en nom propre. L’offre balaie toutes les tendances culinaires du moment. On va des tapas ibériques au burger en passant par les pancakes et la cuisine fusion. Je n’ai pas eu le temps de goûter mais j’ai flashé sur quelques enseignes. Je sais que je reviendrai tester le Bistrot du Clos pour ses assiettes contemporaine et de saison (plat du jour 12€, à la carte entre 12 et 15€). Les pizza de Dagli Amici (11,90€ la Regina – 14,90€ la Burratina) m’ont aussi fait de l’œil ainsi que les volailles fermières de Poulet and co (10,50€ la part de poulet avec accompagnement).

Le Bistrot du Clos

Je dois ajouter que la Boca Foodcourt fonctionne en système cashless. On règle ses achats avec une carte pré-payée à charger sur place. C’est cool pour les futurs habitués, ceux qui travaillent dans le quartier. Pour les visiteurs d’un jour, c’est un peu contraignant. Le remboursement du solde de la carte se faisant uniquement en ligne.

Moi je suggère un remboursement sur place par CB, cela se fait dans plein de magasin.

Last but not least, toutes les info sur les enseignes, les menus et le système de paiement sont sur l’Appli La Boca Foodcourt à télécharger.

Pour conclure, je dirais que ce nouveau spot de restauration fait partie des endroits à tester absolument. Allez-y prendre une bière le soir pour vous faire une idée. Vous y retournerez certainement aux premiers rayons du soleil. Je crois beaucoup à la terrasse côté fleuve qui fait partie de la suite du projet

La Boca Food Court

  • Euratlantique, Quai de Paludate, Bordeaux
  • 350 places en intérieur, 350 place en terrasse
  • Service continu de 10h à minuit en semaine
  • Fermeture à 2h du matin le week-end

Bordeaux So Good 2018, les 10 meilleurs plans du Week-end

 

Bordeaux So Good, revient pour une cinquième édition du 16 au 18 novembre.

 

Une nouvelle fois, le Sud-Ouest, sa gastronomie, ses produits d’excellence et son patrimoine culinaire seront à la fête. La manifestation se veut ouverte, populaire et accessible à tous. Petits et grands sont conviés à de multiples activités centrées autour de deux lieux principaux, le Hangar 14 sur les quais et le Palais de la Bourse.

Le programme est si dense, si riche qu’il m’a semblé utile d’en extraire le meilleur. Je partage ci-après,
mon idée du Bordeaux So Good, 10 temps forts à ne pas manquer.

Pierre Gagnaire, Trois Etoiles Michelin depuis 25 ans et parrain de Bordeaux So Good 2018

Vendredi 16 Novembre :

  1. Mise en scène Gourmande au MADD, le musée des Arts Décoratifs de Bordeaux.

Vendredi 16 à 12h15, le MADD ouvre ses portes lors d’une visite à thème. Pour Bordeaux So Good, le musée a conçu une scénographie originale autour de la gourmandise.

Samedi 17 novembre :

2.     Pierre Gagnaire cuisine en live au Hangar 14

Parrain de la manifestation, le super-chef sera samedi à 14h en démonstration sur la grande scène. Pour les amateurs de haute cuisine, ce sera une occasion unique de rencontrer le chef aux 16 restaurants, Trois étoiles Michelin depuis 25 ans et deux étoiles depuis 2018 pour la Grande Maison à Bordeaux. En bonus, trois chefs italiens, le pays invité au Bordeaux So Good 2018, officieront aux côtés de notre triple star.

3.     Christophe Girardot de retour en compétition pour le Cannelénium 2018.

Samedi après-midi au Hangar 14, France Bleu Gironde organise le septième Championnat du monde de Cannelé. 12 passionnés de cuisine seront en compétition dès 14h pour la partie amateur. Ils réaliseront un cannelé sucré selon la recette traditionnelle.

A 16h, les professionnels entreront en scène. Christophe Girardot, deux fois vainqueur du Trophé affrontera Mathieu Lecocq, Benoît Texier et Mickael Guedj. Les chefs ont quartier libre pour inventer une recette salée. Ils seront jugés sur cinq critères : Goût, consistance, présentation, respect de l’authentique et originalité.

Photo Cannelenium 2014

 

4.     La Bande des AFAMES en déambulation sur les quais,

Pour rencontrer et vivre un moment de fête avec un collectif de chefs rassemblés autour des valeurs de la cuisine du bon produit et du partage.

Départ du Hangar 14 à 14h samedi, arrivée place de la Bourse vers 16h30

5.     La Nuit des Banquets

Cette année, on comptera 16 banquets et 1500 places pour un dîner de Gala extraordinaire. Chacun des banquets s’organise autour d’une thématique originale. Il y aura un banquet dans la jungle, un banquet des femmes chefs, un banquet des plats de notre enfance… Lequel des lieux insolites privilégier ? Difficile de choisir, personnellement j’aimerais les faire tous. Mais puisqu’il faut en sélectionner, j’ai noté le Conservatoire de Musique de Bordeaux ou le cercle automobile club du Sud-Ouest. Je suis très tenté par le banquet accords entre gastronomie et mixologie du restaurant le Gabriel. J’adore l’idée du voyage initiatique entre thés & vins d’excellence qui se tiendra à la caserne Lamarque à Libourne. Et pour une expérience multi-sensorielle, je voudrais aussi dîner dans le noir à Cap Sciences. Et vous ? Vous avez fait votre choix ?

La salle du Banquet VIP de Bordeaux S.O Good

Dimanche 18 novembre :

6.     Le Rallye Gourmand

Pour challenger nos neurones, un parcours découverte de la ville en 15 défis. Pour jouer, il faut constituer une équipe de 4 personnes et s’inscrire sur le site. Le rendez-vous est fixé place de la Bourse. Après un café d’accueil et un briefing, les 200 participants s’élanceront dans les rues de Bordeaux munis de leur roadbook et d’un plan. Ils auront 3h pour réussir les épreuves : dégustation à l’aveugle, atelier pratique ou pictionnary. Les gagnants seront les trois premières équipes à terminer la totalité du parcours.

7.     La Table des Producteurs

La chambre d’agriculture organise un banquet champêtre au Palais de la Bourse. Ambiance guinguette et produits fermiers au menu. Tarif 19€ pour les adultes et 9€ pour les enfants. Vin en supplément 2€ le verre.

Pendant la semaine Bordeaux So Good :

8.     Un menu Franco-italiens chez les restaurants partenaires.

Du 10 au 18 novembre, la cuisine italienne sera à la carte de 41 restaurants. L’idée tourne autour de la cuisine soleil, des bons produits, de la rencontre entre l’Italie et le Sud-Ouest. C’est l’occasion de découvrir de super adresses. Parmi elles, il y a quelqu’une de mes favorites, de celles que je recommande dans mon guide Le Meilleur de Bordeaux. Je citerai l’Osteria Pizzeria Da Bartolo, un super spot ouvert tous les jours pour déguster une cuisine généreuse dans une ambiance à l’Italienne. Du 10 au 18 novembre le chef propose une formule plat + verre de vin +café à 20€ avec une pizza magret et poire.

J’ai le plaisir de vous faire gagner deux menus So GOOD sur ma page instagram dès demain. Tirage au sort lundi 12 novembre.

L’Osterria Pizzeria Da Bartolo, 15 rue des Faussets

Liste des restaurants partenaires  https://www.bordeauxsogood.fr/LA-PROGRAMMATION/Les-Rendez-vous-en-ville!/Les-Restaurants-au-Menu-Franco-Italien

9.     Les Boutiques Gourmandes Bordeaux So Good. Samedi et dimanche.

Des super chocolatiers, des épiceries fines et des magasins de vaisselle s’associent à la fête. Ils proposent des dégustations, des démonstrations culinaires aux festivaliers. La liste des participants est sur le site de So Good.

https://www.bordeauxsogood.fr/LA-PROGRAMMATION/Les-Rendez-vous-en-ville!/Les-Boutiques-Gourmandes

Je profite de l’occasion pour vous présenter un caviste-Bar à Vin atypique Les Trois Pinardiers. Les 3 Pinardiers sont 5, tous anciens copains d’école de commerce. Passionnés de vins, ils ont ouvert une cave en 2015, un wine truck en 2016 et le bar de la rue Georges Bonnac en décembre 2017. Leur originalité c’est de permettre la dégustation de tous les vins de la carte. Grâce au système Coravin, ils peuvent prélever une bouteille sans altérer le breuvage et sans risque d’oxydation. Leur sélection très ouverte sur le monde est conçue pour répondre à une demande de découvertes, de voyage par le vin. Pour Bordeaux So Good, les 3 pinardiers se sont associés à la maison Lafitte foie gras. Ils feront déguster des spécialités méconnues de cette entreprise réputée du Sud-Ouest.

Le bonus de So Good : je vous fais gagner une offre comprenant une planche de Charcuterie et Deux verres de vin. Concours sur Instagram mercredi 14 novembre. Tirage au sort le 16.

Les 3 Pinardiers, rue Georges Bonnac.

10.  Exposition de photos culinaires

Pour la deuxième fois, Bordeaux So Good accueille le Festival International de la Photo Culinaire. Les clichés de 19 photographes renommés du monde entier seront affichés en extérieur devant le Hangar 14.

Voilà, le Meilleur de So Good selon moi. Naturellement il y a d’autres activités à découvrir. Je vous invite à vous rendre sur le site du festival

https://www.bordeauxsogood.fr/

Je vous souhaite un très bon festival et espère vous retrouver samedi au Hangar 14. J’ai le plaisir de participer au jury du Cannélenium de 14h à 18h.

Pour ceux qui le souhaitent, mon guide le Meilleur de Bordeaux sera en vente à la Librairie du Hangar 14. N’hésitez pas à venir me voir pour une dédicace.

IL ETAIT UNE F’OIE, nouveau livre des AFAMES aux Editions Sud-Ouest.

Quand les AFAMES s’emparent d’un sujet cela donne toujours un magnifique travail collectif. Avec IL ETAIT UNE F’OIE, l’Association des Friands Amateurs de Mets Epicuriens et Savoureux ne déroge pas. Leur nouveau livre, paru aux Editions Sud-Ouest, redonne à l’oie du Sud-Ouest ses lettres de noblesses. En 24 recettes, les chefs mettent en avant un met d’exception produit en agriculture familiale. L’ouvrage apporte aussi un éclairage historique sur une production un temps réservée aux femmes comme source de revenu complémentaire.

Côté recettes, des classiques comme le foie gras au torchon ou le confit et des créations originales. Avec Il ETAIT UNE F’OIE, on reste dans le registre de la cuisine des pro, les préparations demandent temps et savoir faire. A offrir aux amateurs éclairés donc. Petite consolation pour les néophytes, j’ai épinglé les plus faciles : le Pot-au-feu d’oie, bouillon au poivre de Sancho du chef Frédéric Lafon ou le Magret, ail, pomme de terre et crumble café du chef Frédéric Coiffé.

Je n’oublie pas la bonne idée des accords mets et vins. Sophie Lafon, sommelière de L’Oiseau Bleu, nous propose pour chaque recette le vin idéal.

Voici en images, les meilleures photos de la présentation du livre. Les chefs avaient cuisinés des tapas à base d’oie. Ils nous ont reçus dans la Salle des bobines du journal Sud-Ouest, un lieu magique mis en scène par l’agence Côte Ouest.

 

 

IL ETAIT UNE F’OIE

  • Editions Sud-Ouest
  • 96 pages, format 17*24
  • 15€

 

LES AUTEURS

Les 12 chefs AFAMÉS : Jean-Luc Beaufis, Florent Carle, Pierrick Célibert, Frédéric Coiffé, Nicolas Frion, Emmanuel Gonçalves, David Grangier, Frédéric Lafon, Thomas L’Hérisson, Jean-Luc Molle, Frédéric Schueller et Kendji Wongsodikromo. Suivez leur actualité sur Facebook : Afamés

Photographe: Claude Prigent www.regards-culinaires.com


Château le Puy, les Gouttes de Dieux.

Pour rejoindre Château le Puy, il faut dépasser Libourne, quitter la nationale 89 et monter le coteau à travers vignes et propriétés viticoles. La famille Amoreau s’est installée en 1610 au point culminant de la région, le coteau des merveilles. Nous sommes en bordure du plateau de Saint Emilion (distant de 15km) sur un sol argilo-calcaire. La vigne y développe un système racinaire le long des failles qui lui permet de puiser l’eau en profondeur en période de sécheresse.

Sur cette terre vouée à faire un vin d’excellence, la famille Amoreau a toujours fait le choix de laisser parler la nature. A une époque où les préoccupations écologiques n’étaient pas encore d’actualité, les propriétaires du lieu ont bâti un écosystème de 100 hectares dont la vigne n’occupe que la moitié. Les Amoreau ont conservé prairies, forêt et étang, lieux de vies animales et végétales. La biodiversité a été préservée pour le plus grand bien des terres environnantes. La vigne qui n’a jamais connu la chimie lourde bénéficie de la richesse des sols. Elle donne un vin bio depuis toujours.

Nous ne commencerons pas la visite par la découverte d’un chai spectaculaire, œuvre monumentale conçue par un architecte de renommée mondiale. Suivant le principe des vignerons selon laquelle le vin se fait à la vigne, nous irons d’abord arpenter le coteau. Une surprise nous attend. A deux pas de la chartreuse, en bout du plateau de Saint Emilion, se trouve un site préhistorique, un cromlech ou cercle de pierres levées. Il semblerait que les anciens aient découvert les bonnes ondes, l’énergie du lieu. En ce matin d’octobre, une belle lumière passe à travers les branches de la forêt toute proche. Nous nous imprégnons de la beauté, de la magie et du mystère de l’endroit. Sans en comprendre la signification, nous devinons une grande force dans ses pierres dressées. On comprend aussi que le domaine se soit tourné vers la biodynamie, un mode de culture bio qui s’appuie sur les énergies terrestres et cosmiques. Cette culture inventée par le philosophe Steiner combine soins homéopathiques et travail selon le calendrier lunaire. Celui-ci donne les jours feuilles, les jours fruits, les jours fleurs et les jours racines. Comme les anciens, on taille en lune montante (la sève des plantes monte vers les branches) et on essaie de traiter la partie aérienne en jour feuille.

Le Cromlech de Château le Puy

Sur le domaine, on n’emploie aucun produit de synthèse, aucune chimie. Pour enrichir les sols, fortifier la vigne, on travaille la terre. Pour prévenir et traiter la maladie, on utilise des plantes en décoction ou infusion préparées selon des recettes mises au point par Steiner.

A titre d’exemple, la Prèle et le Saule Blanc sont des fongicides naturels. (J’ai parlé d’homéopathie car les résultats des traitements végétals sont moins spectaculaires que ceux des produits chimiques. En cas d’attaque massive et durable du mildiou, la vigne souffre et les pertes sont importantes)

Toujours pour répondre aux principes de la biodynamie, le domaine recherche l’autarcie. Il fabrique ses propres engrais avec le fumier d’un mini troupeau de bovins. Des ruches ont été implantées sur le domaine. Et bien sûr les chevaux sont revenus sur la propriété en 2009. Unique, théo, Lola et Spirou participent aux travaux des champs sur les dix-huit hectares les plus accessibles. En biodynamie, on les préfère au tracteur. Moins lourds, ils ne tassent pas les sols et favorisent la vie des micro-organismes et petits animaux sous-terrain.

Travail avec le cheval pour ne pas tasser les sols

La démarche bio se prolonge dans les chais, pas question d’intrant ou de levure externe. Steven, le maître de chai, a pour mission de rester au plus près du terroir, de rester sur le fruit. La vendange est ramassée et triée à la main.  Elle sera égrappée puis mise à fermenter dans de grandes cuves béton. En haut de la cuve, le marc est bloqué par un système de douelle en bois. Le mise en fermentation se fait sans apport de levure mais avec ajout d’un pied de cuve de flore indigène. Lorsque le travail commence,  un tuyau allant au fond de la cuve permet aux premiers gaz de s’échapper. Puis le jus va se mettre à bouillonner, inonder le bassin et venir lui même arroser le chapeau par gravitation. Il ne sera fait aucun pigeage. Au bout de 18 jours, le jus est mis à vieillir dans de grands foudres pour la cuvée Emilien et en barriques expérimentées pour la cuve prestige, la cuvée Barthélemy. Pour celle-ci, les jus sont dynamisés, mis en mouvement par batonnage hebdomadaire, sur 24 mois. Les lies sont remises en suspension, les énergies et les arômes se libèrent. Le mouvement protège de l’oxydation et permet de se passer de souffre. Dans les deux cuvées, il n’y aura n’y filtration, ni collage mais clarification par soutirage. Le jus est séparé mécaniquement de ses lies et dépôts (tous les trois mois). Au repos, les lies se déposent en fond de barrique, elles y restent lors du transvasement.

Vinification traditionnelle en cuve béton. Remontage naturel.

L’ensemble de ces pratiques font des vins de Château le Puy des vins nature dont la réputation a franchi les frontières. L’histoire s’est accélérée avec la présence du domaine dans les Gouttes de Dieu. Ce Manga japonais retrace l’initiation aux très grands crus du fils d’un célèbre œnologue en compétition avec un frère par adoption pour l’héritage du maître brutalement disparu. Au tome numéro 23, Château le Puy entre en scène. Pour la propriété Bordelaise, la starisation est faite. Le millésime 2003, désigné meilleur vin au monde entre dans une bulle spéculative. Jean-Pierre Amoreau doit en stopper la vente pour enrailler la frénésie d’achat.

Depuis, la propriété a gardé une excellente image sur les marchés asiatiques. La Chine est même devenu le premier client. Que l’on se rassure, il est toujours possible d’acheter du vin à la propriété. La France représente encore 30% des ventes. Celles-ci sont gérées en interne sans passer par la place de négoce. La propriété est même ouverte aux particuliers sur rendez-vous. J’ai eu la chance d’y déguster les deux rouges emblématiques de la propriété Emilien 2016 et Barthélémy 2011. Si j’ai aimé Emilien (24,95€ prix à la propriété), j’ai trouvé le 2016 encore jeune. Ma préférence va à la cuvée Barthélémy, le vin des Dieux. Voici mes impressions, mes émotions. J’ai beaucoup aimé ce vin léger et délicat comme un Bourgogne.

Les Gouttes de Dieu

Cuvée Barthélémy 2011

  • 85% Merlot, 15% Cabernet Sauvignon
  • Vin élevé en barrique 24 mois, ni filtré, ni collé
  • vin sans souffre, vin sincère sans excès de boisé.
  • Un joli nez, en bouche finesse et élégance.
  • De la fraîcheur, une belle longueur
  • Prix à la propriété 95€

Il y aurait encore beaucoup à dire sur Château le Puy, sur ses cuvées confidentielles, son blanc, sa cuvée Retour des Iles (un vin qui vieillit sur voilier au cours d’un voyage de quelques mois). Le domaine mérite qu’on s’y attarde. Je reviendrai certainement à Château le Puy pour le Blog. J’attends avec impatience l’issue de la demande d’appellation Le Puy. Depuis 2011, Jean Pierre Amoreau a fait déposé un dossier auprès de l’INAO pour la création d’une appellation le Puy qui distinguerait une parcelle singulière proche de la Chartreuse. Cette requête aujourd’hui au conseil européen si elle aboutissait, récompenserait un domaine béni des Dieux.

Château Le Puy

  • 33570 Saint-Cibard
  • 05 57 40 61 82

Le Central Hostel Bordeaux, l’hébergement low-cost & friendly

Décidément Bordeaux change et rajeunit. Après le Mama shelter et son offre d’hôtel à prix serrés pour hipsters, voici le retour de l’Auberge de Jeunesse au cœur de Bordeaux. Oui mais pas celle de papa avec ses dortoirs aux lits sans confort et ses sanitaires à la propreté douteuse.

 

Avec le Central Hostel, nous entrons dans l’univers cocoon qui a si bien réussi aux Boutiques Hôtels. Clarence Grosdidier, le fondateur de cette auberge de jeunesse nouvelle génération, souhaite allier emplacement stratégique, prix accessibles et restauration de qualité.

Clarence Grosdidier, propriétaire et Martin Robic , directeur du Central Hostel

Il s’est installé au cœur de Bordeaux dans un bel immeuble en pierre. On ne peut rêver meilleur emplacement ; nous sommes au croisement de la rue Sainte Catherine et de la rue des trois Conils. Tous les hot spots de Bordeaux sont accessibles à pied. La rénovation du bâtiment a été confiée au studio Hekla. Les architectes ont bien travaillé et le rendu est superbe. Au rez-de-chaussée, on entre par un bel espace partagé entre le bar, la salle de restaurant et en second plan deux coins canapés. Au centre, une monumentale table d’hôtes faite d’un plateau en bois brut donne un côté convivial à l’ensemble. La décoration surfe sur les tendances du moment, la nature, les coussins berbère, un esprit cool.

la salle à manger du Central Hostel

Ici on peut s’attabler pour un café le matin, un déjeuner à midi et une bière vers 18h. L’équipe a fait un vrai travail sur la carte des boissons. Ils proposent 6 bière à la pression dont une spécialité Bordelaise : Azimut Amercan Pale Ale. 4,5€ les 25 cl.

Une courte carte à base de produit frais permet de se restaurer à prix sympa. Le chef Matthias Mureddu prépare chaque jour son menu en fonction du marché. Il veut mettre en avant le Sud-ouest sans se priver des spécialités à la mode. Non, Mathias faire des avocado toast n’est pas locavore mais je vous le pardonne, c’est le péché mignon de tous les véggies. J’ai testé les nems de canard, une jolie idée et la tarte tatin, le dessert du moment.

Sinon les chambres comment ça marche ?
C’est très simple, on a le choix entre des chambres à partager 6 lits ou 8 lits. Je dis chambre car elles sont relativement petites et pour moi un dortoir, cela veut dire un long couloir de lits alignés comme au pensionnat. Au Central Hostel, on optimise les mètres carrés, les chambres-dortoirs sont composées de couchettes superposées dotées chacune d’une liseuse, d’une prise USB, de placard de rangement et d’un rideau pour préserver l’intimité des colocataires. Les sanitaires sont sur le palier, fonctionnels et très propres.La clientèle visée semble très large allant du routard isolé à la famille. J’imagine très bien une sympathique tribu coloniser une chambre et la réserver dans sa totalité.

Une couchette des chambres à partager

Le dernier étage est réservé à une offre traditionnelle de chambre double. Vastes et lumineuses, elles offrent de jolis points de vue sur les toits de Bordeaux.

Une chambre Deluxe

Central Hostel, les informations :
2 place Saint Projet
05 57 59 97 28
110 couchages.
Prix relevé pour le 25/10/2018 lit en chambre-dortoir à partir de 26€, chambre double 145€. Petit déjeuner en supplément 7€.

Restauration ouverte à tous, résidents et non-résidents
Tous les jours de 12H à 14H et de 19H à 22H30 le soir
Menu du jour 17,50€. Tapas de 6€ à 9€
Brunch le dimanche 19€

A Settimana, la semaine Corse à Bordeaux, 5ème édition.

 

Bordeaux en mode Corse du 1er au 5 Novembre

 

Pour la cinquième année, Julien Pandolfi du restaurant a Cantina (rue des Bahutiers) nous propose de vivre une expérience unique. Il ouvre son carnet d’adresses et présente les produits Corse dans quelques jolis spots Bordelais. A titre d’exemple, A Settimana sera au Point rouge, à la brasserie le Mirabelle, au Champoreau, sur le bateau de croisière Le Burdigala II et sur le rooftop du Radisson Blu. Dans tous ces lieux, il est prévu une dégustation, un déjeuner ou un dîner autour des produits Corse. Des producteurs de fromage, des viticulteurs feront le voyage pour faire découvrir le meilleur de l’île de Beauté.

Le programme est très dense, je le mets en annexe. Je vous recommande aussi la page Facebook A Settimana.

Et parce qu’il faut bien choisir,
j’ai sélectionné les incontournables de l’évènement.

Voici donc les temps forts :

 

Jeudi 1er Novembre: au Comptoir A Cantina

20H une soirée de folie au rythme des chants corses. Chez A Cantina, 14 rue des bahutiers, on est dans le vieux Bordeaux. L’endroit meublé vintage se divise entre le rez-de-chaussé dédié à l’apéro et l’étage au restaurant.

Au menu de la soirée du 1er les spécialités du restaurant. Je vous conseille les tapas à partager. Ce sera une belle occasion de découvrir l’excellente cuisine du chef Jean Chalut Natal. Il travaille le produit Corse de facon très contemporaine, sans se priver d’associations audacieuses. J’ai adoré les rouleaux de printemps aux gambas et panzetta, Les mini pitas au veau confit, les coquillettes, prisuttu et tomme de brebis, un plat qui nous ramène à l’enfance. Je n’oublie pas l’incontournable planche fromage et charcuterie 20€, un classique du Bar à vins. Prix des tapas 8€ la portion environ.

 

Vendredi 2 Novembre: Croisière sur le Burdigala II

 

20H Cocktail dinatoire à quatre mains avec Jean Chalut Natal (A Cantina) et le chef Ange Cananzi*, pour une croisière aux sons des chants et guitares corses. Au menu, un apéritif Corse et de nombreuses bouchées incluses dans la formule à 60€. En supplément vins Corse et champagnes.

Réservation auprès de Fati au 07 62 61 27 05 – RDV au pied du Pont de Pierre, face au 7 quai de Queyries, Bx. Départ du bateau à 20H30

* Ange Cananzi est le chef du restaurant gastronomique Pasquale Paoli près de Calvi. Amoureux du terroir, il sublime le produit comme personne.

Jean Chalut Natal, chef du restaurant A Cantina

 

Samedi 3 Novembre:  Rooftop du Radisson blu

63 rue Lucien Faure, Bx

Super idée pour découvrir le nouvel hôtel avec vue de Bordeaux Bacalan

  • de 10H à 18H marché des producteurs pour découvrir les spécialités et l’artisanat corse.
  • 10h à 14H la rencontre de Rémi (Le Champoreau) pour une cuisine corse en live !

Vins Corse en dégustation au marché de producteur du Radisson Blu

 

Château Larrivet Haut-Brion à Léognan

20H à 4H: Soirée privée pour les 7 ans d’A Cantina

Cocktail dinatoire et ateliers culinaires dans la formule. la Corse, le Sud-Ouest, les huîtres de Joël Dupuch, La Charcuterie AOP de Félix Torre, le Veau Corse de Paul-André Santini. Boissons en supplément : bières Corses, vins, muscat, champagnes.

Limité à 300 places billets en vente à 50€ sur acantina-comptoircorse.fr . Possibilité de navatte depuis Bordeaux- place de la Bourse. Départ 19H et 20H de la place de la bourse 12€ A/R réservation obligatoire sur acantina-comptoircorse.fr

Dimanche 4 Novembre:  Le Champoreau.

11H Brunch corse, 22€/pers . 40 rue traversanne, bx. résa au 05 56 31 96 48

Je recommande vraiment cette Brasserie pour son décor et la cuisine gaillarde de Rémi Bourget. Voici, ce que j’ai écris sur le Champoreau dans mon guide Le Meilleur de Bordeaux 100 restaurants :

Dans le quartier Saint Michel en pleine mutation, le Champoreau joue la carte du bistro authentique. Les murs en pierres apparentes, les tables recouvertes de nappe papier et l’ambiance joyeuse façon troisième mi-temps en font un lieu convivial pour manger simple et bon.

 

la table d’A cantina rue Mably

20H soirée pâtes à l’araignée de mer et chants corses. 22€ le plat.

La Table A Cantina, c’est le second restaurant de Julien Pandolfi. Décor Napoléon III, cosy décontracté dans l’hyper centre de bordeaux. On y sert le veau tigre bio de Jacques Abbatucci, le cochon fermier et les cannelloni au Brocciu.

La table A Cantina, l’étage

Programme de la semaine Corse du 1er au 5 novembre 2018