Arcada, table gastronomique et gourmande de Bordeaux

Mise à jour le 11/02/2022

Arcada enfin réouvert

Good news pour l’Arcada et pour Sofiane Bouhabib, le restaurant réouvre après une année 2021 marquée par le Covid et la fermeture de la rue de la Rousselle. Hier nous étions, un petit nombre de happy few pour découvrir la nouvelle carte du chef Jean-philippe Vecco désormais aux commandes. 2022 s’annonce gastronomique et gourmande avec une cuisine française de belle tenue, des cuissons parfaites et une grosse envie de nous faire plaisir.

Premières impressions en 2019.

Nouveau restaurant, 13 rue de la Rousselle, Bordeaux

Merci à Sofiane Bouhabib d’avoir choisi la rue de Rousselle pour son premier restaurant. Grâce à ce néo-bordelais, nous découvrons un coin de Bordeaux méconnu malgré sa proximité avec la très populaire Place Fernand Lafargue. Chez Arcada, on goûte le calme d’une artère paisible bordées d’immeubles autrefois dédiés à l’artisanat. Les rez de chaussée portent les traces d’un passé artisan avec la présence d’anciens ateliers souvent transformés en garage. Ils ont gardé leur monumentale porte en bois et leur enseigne, ce qui donne un charme supplémentaire à l’endroit. 

Décor cosy et contemporain

Sofiane Bouhabib  a construit son ambiance en jouant sur les belles matières. Les tables sont en chêne, le bar a été conçu pour le restaurant par un artisan du bois et les murs sont restés bruts en pierre blonde de Bordeaux. L’ensemble bénéficie de la lumière naturelle donnée par les ouvertures en arcade et d’une belle hauteur sous plafond. Rien ne manque pour notre confort, pas même les chaises agréables comme des fauteuils.

Cuisine de région

Sofiane a choisi Bordeaux pour son dynamisme et sa proximité avec le pays Basque. C’est une région qu’il affectionne et qu’il connaît bien pour y avoir travaillé. Il aime ses produits, ses artisans et il entend partager avec nous sa passion. Ses nombreuses expériences dans la restauration l’ont incité à recruter une équipe solide en cuisine. Samuel Metayer, ancien second du Glouton et Théo Duprat vont travailler en duo autour des deux cartes, midi et soir. Elles donnent à chaque fois le choix entre trois entrées, trois plats et trois desserts.

Un déjeuner à l’Arcada

Invitée à tester la formule du midi, j’ai beaucoup aimé leurs piquillos farçis au cabillaud sur fondue de tomate fumée. Le côté boisée, assez inattendu avec de la tomate, donne du caractère à cette entrée très Sud-Ouest. (Arcada s’est équipé d’un fumoir, je pense que nous allons découvrir de belles choses de ce côté là)

Pour suivre, j’ai goûté un filet de merlu accompagné d’une polenta moelleuse sous sa croûte dorée. En final, superbe dessert choco-gourmand, une demi-sphère tarte choco fondante et son crémeux mascarpone.

Chez Arcada, le menu du midi change chaque semaine. Le soir, la carte plus gastronomique, promet de belles aventures culinaires. Je recommande l’adresse à ceux qui cherchent une jolie table et un décor soigné .

Bonus : Ceux qui ont passé un très bon moment et qui veulent prolonger la soirée peuvent descendre à la cave pour une dégustation très privé liqueurs et cigares.

Arcada, les informations pratiques 2022

  • 13 rue de la Rousselle
  • 05 56 23 08 61
  • Menu le midi 25 €, le soir 45 €
  • Mardi au samedi de 12 h à minuit
  • Pour un déjeuner à midi, un diner et même un cocktail.

BIG, bistro Girondin, une adresse 7/7

BIG, c’est l’adresse idéale pour ceux qui veulent manger bon, pas trop cher sans se prendre la tête avec les réservations. Le restaurant restaure tous les jours, c’est facile. Avec Big, bistro girondin, on est dans le registre de la brasserie traditionnelle ouverte 7/7.

Un décor typique de bistro parisien

Chez Big, le décorateur s’est fait plaisir. il a utilisé tous les codes du bistro : murs carrelés de miroir, lustres en verre dépoli, bar monumental et banquettes en moleskine. Le bonus, c’est le superbe sol en carreaux de ciment découvert lors des travaux de rénovation. Avec sa patine, ses manques et ses carreaux marqués par le temps, il apporte une touche d’authenticité à l’ensemble. L’effet est assez bluffant. On se croirait dans un lieu chargé d’histoire.

Murs carrelés de miroir, suspensions Art Déco et banquettes en moleskine,
Une vraie ambiance Brasserie chez BIG, Bistro Girondin

Côté cuisine, BIG mise sur les classiques

La carte fait le bonheur des amateurs de cuisine traditionnelle. Chez Big, bistro girondin, on mange français. Pépé ne serait pas déçu, ses plats favoris sont au menu. Son fils appréciera une cuisine tranquille mais bien faite. Pour faire passer, une offre de vin au verre bien balancée et à prix doux. A la bouteille, le client peut choisir de rester àBordeaux ou de se balader en France. Toutes les régions sont représentées.

Menu du jour à ou à la carte

Le déjeuner chez BIG, bistro Girondin

Voilà, BIG, Bistro Girondin, c’est un restaurant à mettre dans votre eat list. Pour un dimanche ou un lundi, c’est un super plan. Et si vous avez des copains étrangers, pensez à BIG. Le combo décor bistro + cuisine traditionnelle française, cela fonctionne toujours.

BIG, bistro Girondin

📪 64 rue Saint Rémi, 33 000 Bordeaux

☎️ 05 56 06 10 20

🍽 : Plat + dessert 15,90 €

🕙 Ouvert du lundi au dimanche

L’Avant Comptoir du Palais : le néo Bistro Camdeborde à Bordeaux

Le combo tendance : Camdeborde, Bistro et bars à vins

L’Avant Comptoir du Palais c’est une nouvelle adresse bien balancée entre le Bistro et le Bar à vins. A deux pas de la Porte Cailhau,Julien Camdeborde, neveu d’Yves, installe un concept déjà rodé sur Paris. A l’Avant Comptoir, on ira pour son ambiance sans chichi, ses charcuteries Basque, ses foie gras des landes et ses plats portions à partager. On se fera pas mal en rinçant tout cela avec des vins de vignerons, essentiellement bio.

Fidèle à la philosophie produit du chef Yves Camdeborde, L’ Avant Comptoir met en scène ses fournisseurs. Leurs noms sont tatoués sur le mur de la salle à manger. On y retrouve les fidèles du chef parisien.

Mon retour d’expérience : l’inauguration de l’avant Comptoir

Pour son inauguration, l’Avant-Comptoir avait invité la presse, les influenceurs Bordelais et ses fournisseurs. Voici en partage mon album gourmand

Chipirons, chorizo, et grenade + le Blanc de Château Lusseau

Quel plats

L’avant Comptoir du Palais, pratique

  • 2 place du Palais – place derrière la porte Cailhau
  • 05 57 14 94 85
  • ouvert tous les jours, sans réservation
  • tapas et plats portions à partir de 8€
  • Quelques suggestions comme la côte de boeuf à partager.

Le Meilleur de Bordeaux, 100 restaurants.

 Au moment où sort mon guide le Meilleur de Bordeaux, je me propose de vous en présenter le making of. Voici comment j’ai construit mon guide, comment j’ai sélectionné les meilleurs restaurants de Bordeaux.

Le guide est à la vente en Librairie chez Mollat et sur le net – vous pouvez l’acheter en direct sur le site des Editions Sud-Ouest :

http://www.editions-sudouest.com/livres/meilleur-de-bordeaux/

J’ai rédigé mon texte sous forme d’interview comme si je répondais à vos questions et à vos légitimes interrogations.

 Qui suis-je ?

  • Je suis une acheteuse textile reconvertie en chroniqueuse culinaire et auteur. Bordelaise d’adoption, j’ai mes racines dans l’Ouest entre Vendée et Bretagne. J’ai trois hommes, un mari et deux fils. Voilà c’est l’essentiel.
  • En 2018, j’ai sorti un roman aux Editions Vents Salés : le Cap Ferret du Paradis à l’Enfer
  • Pour la rentrée, je signe un guide : Le meilleur de Bordeaux, 100 restaurants. Aux éditions Sud-Ouest.

Ma Devise ?

Do it better, do it with love.

Mes Passions, ce qui me rend heureuse ?

  • Vivre pleinement.
  • Mes trois hommes, ma force, ma joie de vivre, mon soutien, mes coachs.
  • Ma famille, mes copines.
  • Bordeaux, le Cap Ferret.
  • Un café en terrasse, un pic Nic entre copains.
  • Les voyages, les découvertes.
  • Et tellement d’autres choses…

Comment est venue l’idée de ce guide ?

J’étais à Düsseldorf au printemps pour trois jours et je cherchais des idées de restaurants. Dans une librairie, je suis tombé sur un guide qui m’a interpellé. Il donnait pour chaque adresse, une photo et un texte. Clair, facile précis. Je me suis dit que personne à Bordeaux n’avait fait quelque chose d’aussi simple. Je pouvais me lancer.

Combien de temps ai-je mis à l’écrire ?

Environ cinq mois. Entre mars et juillet. Je ne vous cache pas que sur la fin, il a fallu accélérer la cadence.

 Comment ai-je sélectionné 100 restaurants parmi les 1981 qui existent à Bordeaux ?

Je tiens un blog Bordeaux Cuisine and Co depuis 2014. J’y partage mes bonnes adresses, mes coups de cœur. J’ai puisé dans mes anciens posts pour écrire une première liste. Ensuite, j’ai consulté mes amis, mes copines au sujet de leurs adresses favorites. Enfin j’ai fait une recherche sur le terrain. Je me suis baladé dans Bordeaux, les sens en éveil. Si une façade m’attirait, je rentrais, j’allais à la rencontre des gens. Je questionnais. Ensuite je revenais pour tester et valider, où pas.

J’ai volontairement écarté les restaurants étoilés déjà très largement médiatisés. Un guide leur est dédié, je ne voulais pas copier. Leurs coordonnées sont aisément accessibles sur le net.

Les critères de sélection ?

J’ai travaillé avec méthode, dans le souci de la plus grande objectivité. Pour qualifier les restaurants visités, j’ai retenu les critères suivants : cuisine, décor, ambiance et prix.

J’ai été particulièrement attentive au fait maison, au respect de la saisonnalité des produits et à un approvisionnement en circuit court (hors cuisine du monde naturellement). J’ai aussi sollicité mon entourage, écouté les avis, demandé aux chefs de me recommander leurs adresses.

Le plus chouette des tasting.
A la table du chef, en cuisine avec Frédéric Lafon, restaurant l’Oiseau Bleu.

Le format, les 100 adresses ?

L’idée, c’était de faire quelque chose de facile, d’accessible et pas cher. Un livre à glisser dans la poche. Un livre qui donne des idées pour chaque moment de la journée.

Le guide est construit en 10 rubriques : Bars à vins et cocktails, Brunch, Bistros, Coffee bars et salons de thé, cuisine du monde, gastronomiques, lieux insolites et terrasses, ouverts le dimanche, pause déjeuner et végétariens.

Pour chaque rubrique, j’ai retenu 10 adresses. Je les présente en une page qui comprend une photo (de mon album personnel), un texte de commentaires et toutes les informations pratiques (horaire et tarif). Elles sont classées par ordre alphabétique.

Les tendances, l’avenir de Bordeaux culinaire

Bordeaux continue d’attirer les talents. Rien ne laisse penser que le rythme des ouvertures de restaurants va ralentir. La scène est toujours aussi dynamique. Face à cette offre qui ne cesse de s’étoffer, l’appétit des bordelais semble difficile à combler. Il est toujours aussi difficile de trouver une table le week-end dans les bonnes adresses. Pour moi, il y a encore de la place pour des chefs sincères et des concepts innovants.

Côté cuisine, la tendance est au végétal, mais pas forcement au restaurant végétarien. Demain, il sera possible de manger bon, sans viande, partout. Certains n’hésitent plus à basculer dans le véganisme. Ils bannissent tout produit issu du monde animal. Autre tendance forte, le fait maison, l’approvisionnement local. Le circuit court est à la mode. Enfin, côté voyage, après l’Asie, on part vers le Moyen-Orient. Israël avec ses fallafels, son pain pita et l’houmous est très tendance.

 

Le Meilleur de Bordeaux, Sophie Juby

Koeben, les nouveaux horaires du restaurant.

Super nouvelle pour les fans de Koeben et de la cuisine scandinave. Désormais, le restaurant sera ouvert le soir les jeudis, vendredis et samedis. Au programme toujours une cuisine centrée sur le saumon et le hareng. Ici, le poisson emblématique de la baltique se déguste en trois façons : nature accompagné d’oignon rouge et d’œuf mimosa, mariné dans une réduction de betterave parfumée aux épices où nappé de sauce curry. Mais surtout, un menu à 25€ autour d’une cuisine familiale aux accents du Nord. L’autre belle surprise, c’est l’arrivée d’un chef pâtissier Yannick. Avec l’aide d’Ann-Sophie, il va seconder Peter Johansen et nous préparer chaque jour des spécialités de l’Europe du Nord ou des classiques français. J’ai testé un délicieux cheesecake et un incroyable Royal, dessert chocolat et praliné, mon préféré.

L’équipe de Koeben. Peter , lucien, Ann-Sophie et Yannick

Bonus : Koeben fait salon l’après-midi pour une pause thé + gâteau

 

Koeben

  • 32 rue du Palais Gallien
  • 09 86 15 02 20
  • Du mardi au samedi le midi.
  • Du jeudi au samedi le soir, brunch le dimanche 33€
  • Menu 17€ le midi, 25€ le soir

Restaurant Madame Pang, voyage dans le Hong Kong des années soixante

Ils ont conquis Bordeaux avec leur premier restaurant, Dan cuisine d’influence. Harmony et Jérôme Billot continuent l’aventure culinaire avec Madame Pang, une adresse à vivre à l’esthétique ultra léchée. Après un an de recherche, le couple franco-hongkongais nous dévoile son idée de la restauration contemporaine : une décoration raffinée sous influence asiatique et une cuisine portions à partager. Madame Pang offre la décontraction d’un bar à vin, la convivialité d’une cuisine façon tapas et l’exotisme de la cuisine asiatique dans un décor façon lounge d’hôtel, intimiste et luxueux.

Dès l’entrée et sa terrasse d’accueil en extérieur, tu tombes sous le charme des lieux, une succession de trois pièces en enfilade avec le Bar en point central et la cuisine ouverte en final. Harmony et Jérôme ont travaillé avec Vincent Ratajczyk pour mettre en scène leur projet, l’envie d’un lieu à faire voyager et rêver. La décoration prend le contrepied de la tendance chêne brut et murs de pierres blondes. L’architecte s’est inspiré du Hong Kong des années soixante, de l’atmosphère sensuelle et mystérieuse du long métrage In the Mood for Love, le chef d’œuvre de Wong Kar Vai. La tapisserie à motif de paysage exotique fait écho aux sublimes robes de Maggie Cheung, les luminaires art déco rappellent les éclairages si particuliers du film, subtils mélanges d’ombres et de lumières chaudes. Les murs peints couleur argile, le mobilier fait sur mesure, chaque détail a été étudié en absolue cohérence avec le projet final.

Harmony Billot, sublime héroïne du remake d’In the Mood For Love

L’ensemble invite à la détente et au plaisir de la dégustation. Une fois installée à l’une des tables basses, tu commandes un assortiment de bouchées délicates et d’assiettes parfumées : raviolis vapeurs, tempura de légumes, travers de porc et autres spécialités à partager. Vous l’accompagnez d’un cocktail ou d’une bouteille de vin. Ici la sommelière Syrielle Palacios te propose un choix de bières asiatiques, de vins de France et d’ailleurs sans oublier la belle collection de saké et spiritueux. Côté budget, tu vas adorer. La formule reste très souple, pas de menu mais des propositions d’Encas, de petites assiettes et de Dim Sum classiques au prix compris entre 6 et 8€ la portion. Tu peux juste grignoter au bar, boire un verre ou faire un vrai diner complet, les douceurs ne sont pas oubliées. L’idée c’est de partager, de vivre un moment d’évasion en amoureux ou entre amis. Il est préférable de réserver, l’adresse ouverte il y a huit jours fait déjà le buzz auprès des amateurs de world cuisine.

Harmony Billot et Syrielle Palacios

Jérôme Billot au piano

 

 

Madame Pang

  • 05 56 38 47 13
  • 16 rue de la Devise, proche de la place de la Bourse
  • du mardi au samedi de 17h à 2h du matin

Restaurant l’Exquis : Esthétique japonaise et cuisine d’influence française,

Installé près de la Grosse Cloche depuis 2015, le chef  japonais Tetsuroh Miyamoto marie deux mondes. Deux cultures que tout opposerait si une réciproque gastronomique fascination ne les attiraient pas dans un avenir culinaire commun.

le chef Tetsuroh Miyamoto

  • On retrouve à l’Exquis les incontournables du restaurant japonais : le comptoir adossé à la cuisine ouverte où le chef travaille sous les yeux des convives, un décor minéral d’une grande sobriété, un personnel japonais attentif et professionnel.
  • On retrouve une cuisine du produit, simple, sans artifice présentée avec élégance.
  • On retrouve aussi l’audace des associations, le goût. Le chef japonais ne craint pas de surprendre. Il sert le poulpe avec un bavarois de chèvre et le poulet fermier avec une sauce mont d’Or.

Les inconditionnels de la soupe miso+sushi ne comprendront pas. Les amateurs de cuisine fusion apprécieront cette cuisine française comprise et réinterprétée par une sensibilité japonaise où l’Asie s’invite en touches subtiles.

Je te recommande cette adresse à découvrir lors d’une balade dans le quartier si joliment rénové de la Grosse Cloche comme un point de départ d’une balade dans la rue Saint James toute proche. En soirée, tu y feras une halte gastronomique pour bien terminer un après-midi dans le nouveau quartier artisan-bobo de Bordeaux.

Le chef propose un menu en trois plats le midi pour 22€, 29€ le soir.

Je n’oublie pas la carte des vins, assez jolie pour une jeune adresse. Encore une fois, l’Exquis se distingue du lot commun. Ici on ne te sert que du Bordeaux. Trois blancs et trois rouges sont proposés au verre.

La proposition de vins au verre

 

L’Exquis

  • Un menu à 22€ le midi. 34€ et 45€ le soir
  • 3 rue du Guienne, Bordeaux
  • 09 66 82 84 49
  • Ouvert midi et soir du lundi au vendredi,
  • Le samedi uniquement le soir.

 

 

 

 

 

Racines, un des gastro préférés des Food lovers Bordelais

Deux ans après son ouverture remarquée, le chef Daniel Gallacher continue de nous régaler avec son menu à prix doux et ses produits de saison. Il pratique la gastronomie des produits simples, sans chichi ni manière. Le soir tu dines pour 29€, une vraie affaire avec amuse-bouche + entrée + Plat de viande ou poisson + Pré-dessert et dessert. La formule plaît, le restaurant est toujours complet malgré une adresse à l’écart du Bordeaux gourmand. N’oublie pas de réserver via Facebook.

Décor contemporain

Chez lui pas de coquilles Saint Jacques ni de foie gras mais des produits simples qui lui permettent de construire un menu à prix accessible. Tu découvres la richesse des légumes racines avec une déclinaison de betterave et l’étendue du potager de l’hiver avec sa poêlée de légumes oubliés. Les présentations sont nettes, Les jus réduits délicieux, les cuissons très justes. Le dessert ne déçoit pas, créatif, savoureux et joliment présenté.

Pour en savoir plus sur le chef, je te renvoie à mon premier article de l’hiver 2015

http://lemeilleurdebordeaux.fr/racines-le-gastro-de-poche-de-daniel-gallacher/

Daniel Gallacher et son second.
Merci Chef .

 

Racines

  • Quartier Mériadeck
  • 59 rue Georges Bonnac
  • 05 56 98 43 08
  • ouvert

 

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